lundi 30 novembre 2009
jeudi 19 novembre 2009
samedi 14 novembre 2009
samedi 7 novembre 2009
jeudi 5 novembre 2009
mardi 3 novembre 2009
vendredi 23 octobre 2009
samedi 5 septembre 2009
dimanche 23 août 2009
sss
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lundi 27 juillet 2009
jeudi 9 juillet 2009
Anne Roumanoff
12 ans : cours de théâtre. Ensuite : Science Po. En même temps : Laurence Parisot, David Pujadas, Jean-François Copé, Frédéric Beigbeder et Isabelle Giordano. Début à 22 ans, en 1987, dans La Classe. 1991 : Rien à cirer. 2003 : son spectacle Follement Roumanoff reste 13 mois à l'affiche de Bobino, avant une tournée en France et au Québec. 2007 : vingt ans de cariière aux Bouffes Parisiens avec le spectacle "Anne a 20 ans". Depuis 2007, elle fait une tribune comique de l'actualité, on ne nous dit pas tout, Radio Bistro.
mercredi 8 juillet 2009
mardi 7 juillet 2009
vendredi 3 juillet 2009
mardi 30 juin 2009
vendredi 26 juin 2009
dimanche 21 juin 2009
dimanche 14 juin 2009
samedi 13 juin 2009
lundi 8 juin 2009
dimanche 7 juin 2009
liens droits
- Réponse à la question de l'application de droits d'enregistrement au rachat de parts d'un OPCI (18/12/2007 publié dans : Investissement immobilier )
L’amendement relatif à l’exonération de droits d’enregistrement pour les rachats de parts d’OPCI par les investisseurs détenant plus de 20% des parts dans un OPCI (http://mdae.over-blog.com/article-7304766.html) est une nouvelle fois ... - Les charges augmentatives du prix en matière de droit d’enregistrement (17/12/2007 publié dans : Droit immobilier )
Les droits d’enregistrement « sont liquidés sur le prix exprimé [dans l’acte de vente], en y ajoutant toutes les charges en capital ainsi que toutes les indemnités stipulées au profit du cédant à quelque titre et pour quelque cause que ... - La question de l'application de droits d'enregistrement au rachat de parts d'un OPCI (13/12/2007 publié dans : Investissement immobilier
jeudi 4 juin 2009
mercredi 3 juin 2009
mardi 2 juin 2009
Lassitude
Parfois, je me demande si je vis ma vie, ou celle d'une autre. je me serai caché et j'aurais laissé quelqu'un prendre ma place.
jeudi 28 mai 2009
mercredi 27 mai 2009
mardi 26 mai 2009
vendredi 22 mai 2009
Enfants arrêtés en Gironde
OK, ça va faire drôle de dire ça. mais je ne comprends pas le tollé autour de cette arrestation. Certes, je le trouve un peu exagérée, mais pas tant que ça.
Deux enfants, ou un, "empruntent" une bicyclette. Moi, si mes deux enfants font ça, je ne serais pas surprise qu'ils se retrouvent devant la police. Et pas fachée non plus. Pour qu'ils mesurent leurs gestes.
Dans les articles sur le sujet, beaucoup de commentateurs réagissent comme moi.Mais l'ambiance est à la critique. On vit dans un état policier, n'importe quoi.
La politique de sarko et ses choix, ses amis qu'il favorise,c 'est une chose. mais qu'une arrestation impressionne les enfants et leur montre les conséquences de leurs actes, c'est bien. Que s'est-il passé? une journée à la police, et alors? ça n'ira pas plus loin. Et même si ça ne sert à rien pour eux, ça servira aux autres : si j'emprunte un vélo sans l'accord de son propriétaire, je vais avoir des ennuis avec la police.
Où est le drame? Et ce crétin de Lefèvre, qui ne dit que des conneries, pour une fois, il est contre !!! Quel débile.
Un tour à la police, une admonestation, une amende aux parents et voilà.
Articles sur le sujet :
Le parisien
Le monde
Nouvel obs.
Deux enfants, ou un, "empruntent" une bicyclette. Moi, si mes deux enfants font ça, je ne serais pas surprise qu'ils se retrouvent devant la police. Et pas fachée non plus. Pour qu'ils mesurent leurs gestes.
Dans les articles sur le sujet, beaucoup de commentateurs réagissent comme moi.Mais l'ambiance est à la critique. On vit dans un état policier, n'importe quoi.
La politique de sarko et ses choix, ses amis qu'il favorise,c 'est une chose. mais qu'une arrestation impressionne les enfants et leur montre les conséquences de leurs actes, c'est bien. Que s'est-il passé? une journée à la police, et alors? ça n'ira pas plus loin. Et même si ça ne sert à rien pour eux, ça servira aux autres : si j'emprunte un vélo sans l'accord de son propriétaire, je vais avoir des ennuis avec la police.
Où est le drame? Et ce crétin de Lefèvre, qui ne dit que des conneries, pour une fois, il est contre !!! Quel débile.
Un tour à la police, une admonestation, une amende aux parents et voilà.
Articles sur le sujet :
Le parisien
Le monde
Nouvel obs.
lundi 18 mai 2009
Des places de cinéma gratuites !!!
C'est là !
Explications : sur ce blog, le théorème de l'escarpin, un concours est organisé pour gagner des places de cinéma.
Voilà.
C'est super, non?
Donc, à bon entendeur, salut !
Merci à Fleur et à l'autre blog de relayer l'info.
Explications : sur ce blog, le théorème de l'escarpin, un concours est organisé pour gagner des places de cinéma.
Voilà.
C'est super, non?
Donc, à bon entendeur, salut !
Merci à Fleur et à l'autre blog de relayer l'info.
mardi 12 mai 2009
Impôts
pas poétique du tout. Hélas. Mais pour toute info : allez là.
Le site des impôts du gouvernement. ça peut aider.
Le site des impôts du gouvernement. ça peut aider.
samedi 9 mai 2009
Bigard
Enfance et adolescence
Bigard, d'une famille plutôt modeste, est marqué par le "bonheur sans tâche " de ses vacances d'été dans une ferme de l'aube exploitée par ses grands parents. Les rentrées scolaires sont mal vécues par lui.
Il déteste les contraintes et l'enfermement de l'école, et adore sa mère. Mais il n'acccroche pas avec les études, et malgré le sacrifice financier de ses aprents qui le mettent en pension après le redoublement de sa quatrième, mais cela ne sert à rien, il est orienté quand même, à 16 ans, vers un BEP de mécanique générale, en 30 ans, dans un lycée technique.
En revanche il pratique le handball avec succès et remporte une médaille dans les juniors.
Premières expériences professionnelles
Il termine sa formation en lycée technique, mais il ne veut pas travailler dans ce domaine et vit d'expédients et de petits boulots. mais comme sa mère est malade et qu'elle a honte de son fils sans travail, il accepte un poste de barman dans un café du centre ville de Troyes, il a beaucoup de succès, attire les gens, fait tourner la barque et en tire de grandes satisfactions personnelles.
Sa mère décède, il continue à travailler, à faire rire les clients du bar, mais la dépression l'envahit ; par ailleurs il vit un deuxième drame : son père est assassisné par un bûcheron, l'ex-petit ami de la femme qui partage sa vie. Il tient le coup grâce aux antidépresseurs, au had ball le week end, et à son rôle de clown derrière le bar.
Il se décide à entamer une formation d'entraîneur. Il devient enseignant, se découvre un don de meneur d'homme, même si l'enseignement et les enfants finissent par le lasser.
Il redevient barman et rencontre Jean-Christophe Le Texier, avec lequel il fait de petits spectacles et écrit des sketchs. Il finit par monter à Paris pour tenter sa chance. Il veut se faire repérer par Philippe Bouvard. Il compte sur sa connaissance du répertoire de Robert Lamoureux et à ses sketchs écrits et joués à Troyes.
Débuts parisiens difficiles
Avec son copain troyen Tex, ils peaufinent un sketch pour le présenter à Bouvard. Il a beaucoup de confiance en lui, mais il est très déçu : Bouvar impose des modifications au sketch, et Bigard disparait, c'est Tex qui est mis en valeur. Il ne se décourage pas et se lance dans l'écriture d'une cinquantaine de sketchs en trois ou quatre mois. Il n'a pas de chance : Bouvard refuse tous ses sketchs mais voit en lui un auteur. Du coup, Bigard entreprend l'écriture d'un spectacle avec Philippe Hodara. Ce spectacle, Pièces détachées, est présenté au Point Virgule, sans annonce et sans soutien ; Il y a 10 à 15 personnes chaque soir, et Bigard est ravi de monter sur scène tous les soirs. Le specatcle stagne pendant un an ; le directeur du théâtre envisage de laisser tomber le spectacle, mais Bigard le convainc d'attendre, la mise en scène est remaniée : ça marche, le public rit différemment, il y a 50 spectateurs par soirées, des annonces dans le Pariscope et l'officiel peuvent être payées, les acteurs gagnent 1000 francs.
Le succès fait que le spectacle dure deux ans. Entre temps, le petit théâtre de Bouvard s'essoufle ; Bigard suit avec attention la gestation d'une nouvelle émission, confiée à fabrice, sur la trois. L'émission commence en 1987, mais il est à nouveau évincé, ce n'est qu'en juin 1987 qu'on le contacte pour cette émission.
Carrière et ascension
C'est donc La Classe qui révèle Bigard au grand public. Il écrit plus de 100 sketches avec Laurent baffie et d'autres avec Franck Godard.
Son premier spectacle au Point Virgule est un stand up dans lequel il s'adresse directement au public. Entre 1990 et 1993, il présente trois spectacles différents, mais il remanie souvent les mêmes sketches.
En 1995, il revient avec un spectacle indédit, 100% tout neuf. Il y évoque les philosophes anciens, les Misérables, le droit, probablement pour montrer qu'il pouvait éviter le vulgaire. En 2000, il revient avec Bigard met le paquet, de nouveau très cru. La dernière de ce spectacle est jouée à Bercy devant 13 000 spectateurs, le 28 décembre 2001.
Autombe 2002, c'est un nouveau spectacle,d es anmiaux et des hommes, nouveau succès.
Début 2006, il interprète avec modernité et "à la virgule prêt" Le Bourgeois gentilhomme de Molière.
Il revient, ensuite en octobre, avec un nouveau spectacle Mon psy va mieux dont l'affiche à forte connotation sexuelle est dans la lignée des précédentes. Dans ce huitième spectacle, Bigard se livre au spectateur et lui révèle ses angoisses et ses douleurs. Il y évoque notamment le jour de sa mort. Les "non-dits" de ce spectacle sont mieux compris lorsqu'on a lu son autobiographie.
En septembre 2008, il incarne Clérambard de Marcel Aymé, dans une mise en scène de Nicolas Briançon. Malheureusement, une remarque à propos du 11 septembre marque le début d'un lynchage médiatique dont il sortira difficilement. La pièce sera finalement arrétée, le 31 octobre, 2 mois et demi avant l'échéance initialement prévue, faute de spectateurs.
Il se consacre alors à un film, le missionnaire, qui sort en mai 2009.
Bigard, d'une famille plutôt modeste, est marqué par le "bonheur sans tâche " de ses vacances d'été dans une ferme de l'aube exploitée par ses grands parents. Les rentrées scolaires sont mal vécues par lui.
Il déteste les contraintes et l'enfermement de l'école, et adore sa mère. Mais il n'acccroche pas avec les études, et malgré le sacrifice financier de ses aprents qui le mettent en pension après le redoublement de sa quatrième, mais cela ne sert à rien, il est orienté quand même, à 16 ans, vers un BEP de mécanique générale, en 30 ans, dans un lycée technique.
En revanche il pratique le handball avec succès et remporte une médaille dans les juniors.
Premières expériences professionnelles
Il termine sa formation en lycée technique, mais il ne veut pas travailler dans ce domaine et vit d'expédients et de petits boulots. mais comme sa mère est malade et qu'elle a honte de son fils sans travail, il accepte un poste de barman dans un café du centre ville de Troyes, il a beaucoup de succès, attire les gens, fait tourner la barque et en tire de grandes satisfactions personnelles.
Sa mère décède, il continue à travailler, à faire rire les clients du bar, mais la dépression l'envahit ; par ailleurs il vit un deuxième drame : son père est assassisné par un bûcheron, l'ex-petit ami de la femme qui partage sa vie. Il tient le coup grâce aux antidépresseurs, au had ball le week end, et à son rôle de clown derrière le bar.
Il se décide à entamer une formation d'entraîneur. Il devient enseignant, se découvre un don de meneur d'homme, même si l'enseignement et les enfants finissent par le lasser.
Il redevient barman et rencontre Jean-Christophe Le Texier, avec lequel il fait de petits spectacles et écrit des sketchs. Il finit par monter à Paris pour tenter sa chance. Il veut se faire repérer par Philippe Bouvard. Il compte sur sa connaissance du répertoire de Robert Lamoureux et à ses sketchs écrits et joués à Troyes.
Débuts parisiens difficiles
Avec son copain troyen Tex, ils peaufinent un sketch pour le présenter à Bouvard. Il a beaucoup de confiance en lui, mais il est très déçu : Bouvar impose des modifications au sketch, et Bigard disparait, c'est Tex qui est mis en valeur. Il ne se décourage pas et se lance dans l'écriture d'une cinquantaine de sketchs en trois ou quatre mois. Il n'a pas de chance : Bouvard refuse tous ses sketchs mais voit en lui un auteur. Du coup, Bigard entreprend l'écriture d'un spectacle avec Philippe Hodara. Ce spectacle, Pièces détachées, est présenté au Point Virgule, sans annonce et sans soutien ; Il y a 10 à 15 personnes chaque soir, et Bigard est ravi de monter sur scène tous les soirs. Le specatcle stagne pendant un an ; le directeur du théâtre envisage de laisser tomber le spectacle, mais Bigard le convainc d'attendre, la mise en scène est remaniée : ça marche, le public rit différemment, il y a 50 spectateurs par soirées, des annonces dans le Pariscope et l'officiel peuvent être payées, les acteurs gagnent 1000 francs.
Le succès fait que le spectacle dure deux ans. Entre temps, le petit théâtre de Bouvard s'essoufle ; Bigard suit avec attention la gestation d'une nouvelle émission, confiée à fabrice, sur la trois. L'émission commence en 1987, mais il est à nouveau évincé, ce n'est qu'en juin 1987 qu'on le contacte pour cette émission.
Carrière et ascension
C'est donc La Classe qui révèle Bigard au grand public. Il écrit plus de 100 sketches avec Laurent baffie et d'autres avec Franck Godard.
Son premier spectacle au Point Virgule est un stand up dans lequel il s'adresse directement au public. Entre 1990 et 1993, il présente trois spectacles différents, mais il remanie souvent les mêmes sketches.
En 1995, il revient avec un spectacle indédit, 100% tout neuf. Il y évoque les philosophes anciens, les Misérables, le droit, probablement pour montrer qu'il pouvait éviter le vulgaire. En 2000, il revient avec Bigard met le paquet, de nouveau très cru. La dernière de ce spectacle est jouée à Bercy devant 13 000 spectateurs, le 28 décembre 2001.
Autombe 2002, c'est un nouveau spectacle,d es anmiaux et des hommes, nouveau succès.
Début 2006, il interprète avec modernité et "à la virgule prêt" Le Bourgeois gentilhomme de Molière.
Il revient, ensuite en octobre, avec un nouveau spectacle Mon psy va mieux dont l'affiche à forte connotation sexuelle est dans la lignée des précédentes. Dans ce huitième spectacle, Bigard se livre au spectateur et lui révèle ses angoisses et ses douleurs. Il y évoque notamment le jour de sa mort. Les "non-dits" de ce spectacle sont mieux compris lorsqu'on a lu son autobiographie.
En septembre 2008, il incarne Clérambard de Marcel Aymé, dans une mise en scène de Nicolas Briançon. Malheureusement, une remarque à propos du 11 septembre marque le début d'un lynchage médiatique dont il sortira difficilement. La pièce sera finalement arrétée, le 31 octobre, 2 mois et demi avant l'échéance initialement prévue, faute de spectateurs.
Il se consacre alors à un film, le missionnaire, qui sort en mai 2009.
dimanche 3 mai 2009
mercredi 22 avril 2009
Très gênant.
J'espère que c'est une gêne respiratoire due au printemps et non l'arrivée de complications pulmonaires... Mais vive le ventoline, là.
dimanche 19 avril 2009
vendredi 17 avril 2009
Violette Oleson
(Je copie -colle de là, tel quel, car je suis TOUT A FAIT D'ACCORD).
Exactement !!! Parfaitement et totalement Nelly Oleson.
Une blogueuse dite influente et à la plume bien pendue, quoique creuse, publie une photo sur son blog. Je ne mets pas de lien, je n'ai pas le même humour, et n'aime pas qu'on rit des défauts physiques des gens.
Son post est repéré sur un forum.
La fille qui a repéré le post laisse un message intimidant pour inciter la blogueuse à retirer la photo.
La blogueuse obtempère et remplace la photo incriminée par une copie d'écran des messages du forum. Par ailleurs, elle supprime le dernier comm de la fille du forum et ferme les commentaires de son post.
Il y a quelques temps, une blogueuse avait publié un post relatif au rapport, disons, entre l'esprit et le corps. Ce post est dense, émouvant, et je ne tenterai pas de le résumer. Toujours est-il qu'il avait été salué chez certaines autres blogueuses, comme un témoignage (entre autre) du poids des convenances qui pèsent sur les femmes et de la difficulté de s'en échapper. Ce petit incident montre à quel point tout ceci peut-être pesant ! En effet, comme le mentionne une participante au forum, si Violette avait photographié une femme noire, ou une musulmane, sa photo aurait été considérée comme la preuve d'un racisme abject : personne n'aurait osé rire. Or, là, quel est le message? les femmes fortes ne peuvent pas avoir d'enfants? leurs enfants sont ridicules? En fait, j'exagère : il n'y a pas de message - pas du tout - on est dans la grosse poilade adolescente, cruelle et sans réflexion -peut-être même que Violette (qui n'est probablement pas si "méchante") réfléchit. Peu importe : l'important est le réflexe et ce qu'il sous tend : ah ah ah ! Une grosse ! ah ah ah !
Exactement !!! Parfaitement et totalement Nelly Oleson.
Une blogueuse dite influente et à la plume bien pendue, quoique creuse, publie une photo sur son blog. Je ne mets pas de lien, je n'ai pas le même humour, et n'aime pas qu'on rit des défauts physiques des gens.
Son post est repéré sur un forum.
La fille qui a repéré le post laisse un message intimidant pour inciter la blogueuse à retirer la photo.
La blogueuse obtempère et remplace la photo incriminée par une copie d'écran des messages du forum. Par ailleurs, elle supprime le dernier comm de la fille du forum et ferme les commentaires de son post.
Il y a quelques temps, une blogueuse avait publié un post relatif au rapport, disons, entre l'esprit et le corps. Ce post est dense, émouvant, et je ne tenterai pas de le résumer. Toujours est-il qu'il avait été salué chez certaines autres blogueuses, comme un témoignage (entre autre) du poids des convenances qui pèsent sur les femmes et de la difficulté de s'en échapper. Ce petit incident montre à quel point tout ceci peut-être pesant ! En effet, comme le mentionne une participante au forum, si Violette avait photographié une femme noire, ou une musulmane, sa photo aurait été considérée comme la preuve d'un racisme abject : personne n'aurait osé rire. Or, là, quel est le message? les femmes fortes ne peuvent pas avoir d'enfants? leurs enfants sont ridicules? En fait, j'exagère : il n'y a pas de message - pas du tout - on est dans la grosse poilade adolescente, cruelle et sans réflexion -peut-être même que Violette (qui n'est probablement pas si "méchante") réfléchit. Peu importe : l'important est le réflexe et ce qu'il sous tend : ah ah ah ! Une grosse ! ah ah ah !
jeudi 16 avril 2009
Savoir si on vous surveille
Très intéressant, ce post d'Emilie Ogez ! Un petit truc pour savoir si on est surveillé.
Au boulot
Grosses irritations et lassitude au taf en ce moment. Un peu marre.
Mon erreur, je crois, a été de me désintéresser de la politique de la boîte. je suis en dehors des courants et conflits, je rigole, je ne m'investis pas. Grave erreur. j'aurais du parler, médire, me rendre présent, indispensable.
Mon erreur, je crois, a été de me désintéresser de la politique de la boîte. je suis en dehors des courants et conflits, je rigole, je ne m'investis pas. Grave erreur. j'aurais du parler, médire, me rendre présent, indispensable.
Sarko méchant
L'actualité m'énerve en ce moment en raison de sa focalisation hystérique sur Sarkozy. On ne pourrait pas critiquer le fond plutôt que la forme, non?
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